Passer sa vie prisonnier pour des préjugés, pour de fausse raison - une couleur de peau, raison politique , ou autre XXX motif...c'est profondement injuste..La preuve que l'humanité n'évoluait pas...Un changement pourtant toujours curieusement aux Usa, avec Barack Obama...
Oprah Winfrey - disait dans une interview que sa grand mère, sa mère fûrent traitées comme des exclaves... Aujourd'hui, elle est encore discriminée pour la couleur de sa peau, 2013 en Suisse, une vendeuse lui a refuse de montrer un sac d'une grande valeur...en pretextant qu'elle n'aurait pas les moyens...quel pouvait être le fondement de la vendeuse...Quand on rentre dans une boutique, on ne montre pas son compte en banque...chacun a sa version ... Y aurait beaucoup de boulot pour les avocats dans la discrimination - Mais le systéme n'a pas le temps de s'occuper - foncièrement des droits de l'homme. Comme un mur dressé face la médiocrité des préjugés ...Madiba, nom un peu intime de Mandela, avec sa foi d'homme a redonner la place à l'humain..
"Les préjugés...sont des lâchetés humaines, pour ne pas accepter l'autre..par esprit de vanité de la race ...en réalité "- Ainsi va l'évolution cher Darwin..Or nous avons à 99% le même adn...
Mandela a - t-il était victime, ou coupable ? pour avoir passé un quart de siècle dans une prison ...Avec l'afffaire du Bijoutier de Nice, qui a tué un petit truand , on perd son latin...si au départ le bijoutier était la victime, il devient coupable...Pour la Justice il est inculpé...bracelet électronique, et caché dans un autre département...Le procureur a fait son boulot ...le bijoutier a reçu des miliers de soutien via Facebook ...Donc, pour ces gens, il n'est pas responsable. La justice dira... le contexte dans lequel est la France actuellement avec nombreux vols de bijoutiers...est affolant, presque une psychose...
L'Affaire d'Eliane Kabile en région parisienne... - Cette triste affaire a un écho retentissement...
nos affaires respectives ont des points communs....l'année 2001, le mois de Février, des dates.et les intervenants : milieu médical élargie, milieu juridique...
Les différences : ils ont des avocats, eu la presse avec eux, du soutiens, ils ont eu accés à l'autopsie, ont été reçu par le Ministère de la Justice... pas nous.
Etant en contact avec la soeur et comme leur affaire n'est pas terminée ..comme la notre, bon la notre n'a jamais débuté dans un tribunal en France, seule la cour Européenne a pris la Requête - sans avocat malheureusement...
Si un avocat voit tombe par hasard sur le blog et qu'il soit intégre je suis à la recherche d'un avocat...question de vie privée - vu vols de données informatiques, insulte et diffamation d'un internaute .
Prochainement : les blabla sur l'affaire Kampusch dont le film est sortie cette année....etc donc Claude Guéant que j'avais mentionné dans un article...au sujet de ces fameux fond secret...qui ne le sont plus d'ailleurs secret...
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20130708.OBS8545/affaire-kampusch-les-terreurs-secretes-de-natascha.html
Visiteur, Posté le lundi 17 novembre 2014 10:05
Nouveau rebondissement dans l'affaire Eliane Kabile
F-X.G.Jeudi 13 novembre 2014
Marie-Christiane Daugimond, la soeur d'Eliane Kabile est poursuivie en diffamation par le directeur du CHU de Gonesse.
Voilà près de quinze ans que la famille d'Eliane Kabile se bat pour connaître les circonstances de la mort de cette Martiniquaise de 64 ans. Elle était entrée à l'hôpital de Gonesse (Val d'Oise) pour une simple douleur au mollet avant d'y trouver la mort... Retour sur une folle histoire de cadavre disparu!
Eliane Kabile est morte le 9 février 2001, selon un courrier adressé à son médecin traitant par le CHU de Gonesse. Son fils Thierry est prévenu par l'hôpital quatre jours plus tard.
Face aux zones d'ombre entourant les circonstances et les causes de sa mort, sa famille, soupçonnant un trafic d'organe, obtiennent alors une autopsie de la justice.
Deux réquisitions à personne sont prises et deux corps au nom d'Eliane Kabile quittent, l'un le CHU de Gonesse et l'autre, la chambre funéraire de Villetaneuse en direction de l'institut médico-légal de Garches, le 19 février 2001.
La première autopsie de Mme Kabile est pratiquée le lendemain. La personne autopsiée n'est pas cette Martiniquaise de 64 ans : la taille, le poids, la couleur de peau ne correspondent pas. Une deuxième autopsie est ordonnée par le juge d'instruction en 2003. L'exhumation du 30 juin 2003 est faite au pipiri chantant avant même que la famille et la police judiciaire ne soient sur place. Le lendemain, l'autopsie révèle que le corps autopsié n'est toujours pas celui de Mme Kabile et qu'il s'agit de restes mortels appartenant à plusieurs personnes différentes. Malgré ces constats sidérants, la procédure judiciaire se conclue par un non lieu en 2007.
Au passage, Marie-Christiane Daugimond, la soeur d'Eliane Kabile est condamnée à 15.000 euros d'amende pour procédure abusive - elle avait demandé à la justice une « recherche de preuve » ! L'affaire, ainsi clôturée, permet même au directeur de l'hôpital de Gonesse de porter plainte en diffamation contre Marie-Christiane Daugimond pour avoir relayé un commentaire sur Facebook concernant la mort de sa soeur (l'affaire devait être examinée le 6 novembre dernier mais a été renvoyée en mars prochain). Une première fois déjà, à la suite de la diffusion d'un tract dénonçant le CHU de Gonesse, Marie-Christiane Daugimond avait été attaquée par la direction du CHU : elle avait gagné devant la cour d'appel de Versailles.
Eliane Kabile, décédée le 9 février 2001.
PLUSIEURS PLAINTES DÉPOSÉES
Au mois d'août dernier, Me Kounkou qui a pris en main le dossier pour le compte de Thierry Kabile, fils de la victime, a fait demander un extrait de l'acte de décès de sa mère. Nouvelle surprise : il découvre que le décès de sa mère est enregistré par deux actes de décès portant des numéros d'ordre différents : 81 et 90. Il découvre encore qu'il existe deux actes de décès portant tous deux le numéro 90 : celui d'Henriette Bergeron, âgée de 100 ans et décédée avec les mêmes symptômes qu'Eliane Kabile.
La transcription, le 6 mars 2001, de l'acte de décès sur le registre d'état civil de la commune de Sarcelles (où vivait Eliane Kabile) fait référence à l'acte n°81. Le livret de famille de Mme Kabile mentionne lui l'acte de décès n° 90.
À la lumière de ces découvertes, la famille d'Eliane Kabile a déposé une plainte contre l'agent judiciaire de l'Etat pour voies de fait et déni de justice. Les plaignants seront auditionnés le 9 décembre prochain. L'avocat a également déposé une plainte à l'encontre de l'hôpital des Gonesse, des mairies de Gonesse et de Sarcelles, de l'institut médico-légal de Garches, du professeur Durigond, de l'Institut médico-légal, des professeurs Rivebery et Urbajtel, experts judiciaires, du docteur Torjman, médecin de Mme Kabile, et du docteur Deliou à l'hôpital de Gonesse à l'époque des faits. Le parquet doit se prononcer tout prochainement sur les suites qu'il y donnera. Faute de suite favorable, la famille d'Eliane Kabile prévoit de saisir le doyen des juges d'instruction d'une plainte avec constitution de partie civile.
F-X.G., à Paris
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